Le plastique, c'est pas si fantastique
Il est partout : contenants, emballages, objets du quotidien... Alors oui, c’est bien pratique, mais à quel coût pour la planète ?
Quelques chiffres
• Depuis le début de sa production, on en a généré 8,3 milliards de tonnes.
• Le plastique est généralement à usage unique et la moitié est jetée moins d’un an après son achat.
• D’ici à 2050, Rolland Geyer prévoit qu’il y aura plus de plastique que de poissons dans l’océan si nous ne faisons rien.
• Quand il ne finit pas en centre de traitement, le plastique finit généralement dans l'océan. Il coule et se fragmente alors en microparticules au fil des années, que même le plancton peut avaler. Il pollue non seulement les cours d’eau mais est un grand risque pour la biodiversité.
Les atlernatives
On peut d’ores et déjà essayer de limiter notre consommation de plastique : refuser les sacs qui en sont composés dans les commerces, éviter les plastiques à usage unique et les produits sur emballés, ou encore acheter en vrac.
Mais que faire du plastique déjà existant avant qu’il ne finisse dans l’océan ?
De nombreuses associations essayent de limiter ce phénomène dramatique. Dans cet article, on vous parle de Blutopia “le média qui fait des vagues” et notre partenaire pour le deuxième Earth Ubac Challenge #EUC (rendez-vous sur notre Instagram @ubac_shoes pour relever le défi). C’est eux les experts qui ont réalisé le quizz de nos stories. Laissez nous vous en dire plus sur leur super projet.
Blutopia
Blutopia, ce sont des newsletters et des séries documentaires, le tout fait avec une grande passion par Malaury, Julien et leur équipe de bénévoles. Leur but : donner aux citoyen·ne·s le pouvoir d’agir pour protéger l’océan
Ici, on va surtout vous parler de la dernière série documentaire qu’ils ont produit : “L’autre confort”, car on l’a adorée, mais n’hésitez pas à les suivre et vous abonner à leur newsletter !
L’autre confort se compose de quatre épisodes, chacune se focalise sur un grand objectif : la collecte, la revalorisation, la réduction des déchets plastiques et l’éducation des populations. Pour les illustrer, Blutopia a rencontré de nombreuses personnes porteuses d’initiatives très intéressantes.
- Collecter les déchets plastique
Blutopia nous présente l'association Australienne Take 3. Comme son nom l’indique, l’idée est de ramasser 3 déchets où que vous alliez. L’organisme ne se limite évidemment pas au chiffre 3 puisque des journées de collecte et de nettoyage sont organisées, avec de plus en plus de bénévoles ! On découvre aussi l’initiative Trash Hero Myanmar, qui organise elle aussi des clean ups de grande envergure afin de nettoyer, d’éduquer les populations, leur montrer comment changer facilement leurs habitudes de vie pour prendre soin de l'océan et ainsi créer du changement à leur échelle.
Blutopia
- Les revaloriser
Après l’Australie, on reste au Myanmar mais on part aussi direction le Vietnam, les Philippines, et l’Indonésie. Là-bas, Malaury et Julien ont rencontré différents organismes et entreprises qui cherchent à revaloriser les déchets plastiques. La plupart du temps, cet “upcycling” va de paire avec une volonté d’améliorer la vie de la population locale. Écologiques et éthiques, ces projets méritent d’être connus et soutenus.
- Réduire leur production et leur consommation
Pour cette vidéo, on reste en Indonésie, mais on découvre aussi le Cambodge et la Thaïlande. Malaury et Julien nous font découvrir encore d’autres acteurs dans la lutte contre la pollution des océans, dans une autre mesure.
On ne vous en dit pas plus, mais on vous conseille fortement d’aller voir ces vidéos sur Imago TV. Les images sont à couper le souffle et la mise en avant d’un message positif redonne de l’espoir. À l’heure où nous écrivons cet article, l’épisode 4 n’est pas encore sorti, mais nous l’attendons avec impatience !
On partage totalement les convictions de Blutopia et on vous invite à vous renseigner sur leurs divers projets, on a adoré collaborer avec eux. Avec nos baskets, on essaie au maximum de limiter notre impact. Nous utilisons au maximum des matières naturelles et recyclées, comme la laine, pour leur redonner une nouvelle vie et éviter qu'elles finissent dans la nature !
On limite aussi le suremballage et nos colis ne contiennent aucun plastique (Carton recyclé et recyclable) pour être sûr de laisser l’océan tranquille.
Source : National Geographic